J'ai 28 ans, je vis dans la banlieue parisienne, je suis chef d'entreprise dans l'immobilier.Militant panafricain au sein de l'organisation Shomari que je préside, j'œuvre à la promotion de la culture africaine et à son histoire.
Je soutien les petits porteurs de projets pour le développement local.
J'aime les défis, je veux apporter une nouvelle vision politique, économique et social à mon pays, partager mon expérience acquise en Europe et à travers le monde, je veux favoriser une approche constructive entre les différents peuples dans le respect des valeurs de chacun.
L'envie de rétablir une image systématiquement négative de l'Afrique et de la RD Congo en particulier m'a amené à « un retour au source » après 7 ans de militantisme en France.
Aujourd'hui la nécessité de développer sur place des actions pour apporter le changement afin de construire socialement et durablement, me pousse à m'impliquer davantage à la recherche de solutions pour le bien être de chaque congolais.
Je souhaite par ma candidature être beaucoup plus proche de la population pour participer au progrès social de tous les congolais, être au service de la diaspora et des Noirs du monde entier.
Le sol congolais appartient à tous les enfants de ce pays, mais la distribution des fruits tirés du travail effectués par les congolais ainsi que la gestion des bénéfices récoltés ne sont pas équitablement répartis et cela attise haine et esprit de vengeance. Si tous les congolais pouvaient mangés à leur faim et avaient accès à une bonne éducation pourquoi quitteraient-ils le pays ? Acceptons les critiques dans la limite de la liberté d'expression de chacun afin de favoriser les échanges et faciliter la reconstruction de la nation.
Avant de manger, travailler ou parler de projet de société il faut KO KOMBOLA pour assainir notre environnement et chasser de nos maisons toutes les impuretés spirituelles et matérielles qui ont un effet néfaste sur nos comportements et mentalités ensuite il sera temps de laisser la place à la génération des bâtisseurs du Kongo ya Sika.
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